Pour retrouver la santé, une bonne hygiène de vie tu auras,
Avec une alimentation bio et équilibrée tu te nourriras,
Alcool tabac et drogue tu éviteras,
De ses déchets ton corps tu nettoieras,
Pour renforcer ton corps de l'exercice physique tu feras,
Des nutriments adaptés à tes besoins tu prendras,
La relaxation et la méditation tu pratiqueras,
Des pensées positives tu auras,
Le niveau de ta force vitale tu élèveras,
Le rire et la joie de vivre tu rayonneras.
Pour une alimentation saine et équilibrée :
Manger plus de fruits et de légumes bio ou local
Boire de l'eau
Manger équilibré
Cuisiner "maison" en évitant les produits transformés industriels
Réduire le sucre blanc dans l'alimentation
Réduire les protéines animales notamment les viandes grasses, privilégiez les viandes maigres et les petits poissons, intégrer des protéines végétales
Remplacer les aliments IG élevé par des aliments IG bas
Pourquoi devons nous respecter de bonnes combinaisons alimentaires ? Pourquoi certaines combinaisons, au contraire, sont néfastes pour notre digestion et notre santé ? Pour comprendre cela, il faut savoir comment chaque type d’aliments va être digéré et assimilé ainsi que le fonctionnement de notre processus de digestion et d’assimilation.
De par leur composition ou la répartition en glucides, lipides, protides, chaque aliment fait partie d’une catégorie spécifique (amylacées, farineux, azotés (protéines), légumes, fruits).
Chaque catégorie d’aliments, en fonction de sa nature et de sa composition, sera digérée et assimilée de façon spécifique par notre système digestif, (enzymes spécifiques, milieu acido-basique défini), de même le lieu digestion sera différent (estomac, intestins) ainsi que la durée de digestion pour chaque type d’aliment.
On peut donc comprendre que de mauvaises combinaisons alimentaires ou l’ingestion d’aliments dénaturés et toxiques vont créer des perturbations de notre digestion (au niveau de l’acidité du milieu, de l’activité enzymatique ou de la vitesse de digestion (trop lente ou trop élevée)) ce qui aura comme conséquence une mauvaise ou une absence d’assimilation qui va générer des carences et une intoxication préjudiciable au bon fonctionnement de notre organisme.
Au niveau de la vitesse de digestion de chaque type d’aliments, les fruits sont les plus rapides à être digérés car composés de sucres simples (glucose, fructose), viennent ensuite les légumes crus et les légumes cuits grâce à leurs fibres qui accélère le transit, les céréales (farineux) et les légumineuses auront une digestion plus longue de par leur complexité (présence simultanée de protéines, lipides et glucides) qui nécessite un plus long travail de dissociation des éléments qu’ils contiennent. Enfin vient la viande dont la digestion peut durer de 3 à 5 heures minimum du fait des longues chaines de protéines qui prennent beaucoup de temps à être dissocier en acides aminés et nécessite plusieurs étapes.
Chaque type d’aliments sera digéré dans un milieu spécifique à sa nature : alcalin pour les amidons et les graisses dans la bouche et l’intestin, acide pour la digestion des protéines dans l’estomac. De même, chaque élément sera digéré par une enzyme spécifique dans le milieu acide ou alcalin qui permet son activation. Ptyaline (ou amylase salivaire) pour les amidons, pepsine pour les protéines, lipase pour les graisses, etc…
Ainsi de mauvaises associations alimentaires vont entrainer des problèmes de digestion : pour ce qui est de la vitesse de digestion, un mélangisme ou un carnivorisme excessif va entrainer un ralentissement de la digestion et de la fatigue des organes digestifs ou au contraire, si la digestion est trop rapide, l’intestin n’a pas le temps d’assimiler les nutriments. De même, l’association d’éléments différents et incompatibles au niveau digestif va entrainer un blocage dans le processus de digestion. Exemples : un acide (vinaigre, citron) et un farineux car l’acidité va inhiber l’amylase salivaire servant à la digestion des farineux. Viande et céréales seront aussi contradictoires (milieu acide pour l’un, alcalin pour l’autre) d’où compétition néfaste.
De même, les desserts sucrés ou les fruits en fin de repas inhibent les enzymes et génèrent de la production d’alcool par fermentation dans l’estomac, tout comme l’association fruits frais plus légumes.
Un repas riche en graisses va ralentir la digestion car passant en premier dans le duodénum, les graisses vont bloquer la digestion des autres aliments qui doivent attendre dans l’estomac.
Tout comme les graisses et les fruits aux repas, le lait et ses dérivés vont favoriser des indigestions et être générateurs de substances lipophiles toxiques.
De même, l’ingestion d’aliments toxiques (charcuterie, porc, gibier, lapin, cheval, abats) vont générer des empoisonnements (hyper leucocytose), tout comme les coquillages et les crustacés vecteurs de substances toxiques hydrophiles et néfastes pour les arthritiques ou de substances toxiques lipophiles (métaux lourds, mercure, polluants divers).
Enfin la viande est génératrice de fermentations, génère et apporte des toxines et des toxiques qui vont altérer la flore intestinale et n’est que peu adaptée à notre système digestif, ce qui génère un ralentissement de la digestion et des fermento-putrescences, car notre système est différent de celui des carnivores (intestin plus court, protéases plus nombreuses).
De mauvaises associations alimentaires seront donc responsables d’un stress digestif et de troubles divers : ballonnements, flatulences, fatigue après repas, dégradation de la flore, empoisonnement, carences nutritionnelles, etc.).
Les bonnes associations alimentaires en fonction de tous ces éléments seront donc par exemple :
- Légumes crus et cuits plus un farineux ou un azoté
- Légumes crus, légumes cuits, farineux cuits à l’étouffée (céréales ou légumineuses)
- Légumes cuits + protéines (sous-produits animaux) + salades
L’intérêt de bonnes combinaisons alimentaires est de permettre une bonne digestion et une bonne assimilation des aliments et des nutriments grâce au respect de nos processus anatomo-digestif, d’éviter une inflammation digestive (leucocytose post-prandiale) génératrice d’inhibition enzymatique, de respecter la vitesse et le processus de digestion et d’assimilation de chaque type d’aliment suivant la nature de ses composants : glucides, lipides, protides.
Aurélien Naturopathe
Via des mécanismes d'action multiples, les vitamines sont essentielles et jouent de nombreux rôles en participant au bon fonctionnement et à l'entretien du corps humain, leur apport alimentaire est donc indispensable pour la croissance, le système musculaire, osseux, immunitaire, nerveux, génétique..
Les vitamines sont classées en 2 groupes selon leur solubilité :
les vitamines solubles dans l'eau sont dites hydrosolubles, elles regroupent les vitamines du groupe B ; B1 B2 B3 B5 B6 B8 B9 B12 et la vitamine C. Celles-ci ne sont pas stockées par l'organisme et doivent être apportées au quotidien. L'apport en excès est éliminé par les urines.
Les vitamines solubles dans les graisses sont dites liposolubles, elles regroupent les vitamines A D E K. Celles-ci peuvent être stockées par l'organisme, et de ce fait l'apport en excès peut provoquer une hypervitaminose.
Les carences des vitamines peuvent être des carences d'apport ou des carences d'absorption.
Aurélien Naturopathe
Un oligo-élément est un élément nécessaire à la vie d'un organisme, mais en quantité très faible, inférieure à 1 mg par kilogramme de poids corporel, souvent issu d'un sel minéral.
Les oligoéléments interviennent dans des réactions chimiques de l'organisme en tant qu'activateurs de nombreuses enzymes et jouent un rôle indispensable, même s'ils ne représentent que moins de 1 % de la masse du corps humain. Ils doivent être apportés par l'alimentation, car l'organisme ne sait pas les synthétiser.
Parmi les oligo éléments indispensables, on retrouve le chrome, le cobalt, le cuivre, le fer, le fluor, le germanium, l'iode, le lithium, le manganèse, le molybdène, le nickel, le sélénium, le silicium, le zinc, etc..
Aurélien Naturopathe
Les 7 principaux minéraux que l'on trouve dans le corps sont le sodium, le potassium, le magnésium, le calcium, le chlore, le phosphore et le soufre.
Le calcium est l'élément minéral le plus important de l'organisme, il représente 1.5 à 2% du poids corporel situé principalement dans les os et les dents. Seulement 30 % du calcium ingéré par l'alimentation est absorbé dans l'intestin grêle et assimilé. La vitamine D est indispensable à son absorption.
Le calcium intervient dans de nombreuses fonctions physiologiques vitales pour l'organisme et sa carence entraine de nombreux symptômes. Cette carence peut être du à une carence d'apport, d'absorption, ou par besoins du corps accentués ( en cas de grossesse, allaitement prolongé, ménopause et les personnes âgées).
Aurélien Naturopathe
Le magnésium est l’un des minéraux les plus importants pour le bon fonctionnement de notre organisme, mais pas le seul, il agit en permanence en synergie avec les autres minéraux, des oligo-éléments et des vitamines pour accomplir ses diverses fonctions.
Si les autres nutriments sont carencés et non présents, alors la fonction ne pourra pas se faire et le magnésium en excédent et non utilisé sera éliminé de l’organisme par les reins.
Le magnésium a un rôle essentiel pour le bon fonctionnement des muscles, pour le système nerveux, le cœur, la production d’énergie sous forme d’ATP dans les cellules au sein des mitochondries.
Il a une action relaxante pour le système nerveux, permet l’activation de nombreux systèmes enzymatiques et des centaines de réactions biochimiques dans les cellules, il prévient les troubles du rythme cardiaque, régule l’inflammation, l’oxydation et notre immunité.
Il intervient dans la transmission de l’influx nerveux et dans la contraction des muscles (effet spasmolytique), active les enzymes pancréatiques, est nécessaire à la synthèse des prostaglandines à partir des acides gras essentiels, conditionne la transformation des vitamines B en co-enzymes, assure le transport transmembranaire du calcium dans le tissu osseux et de bien d’autres, joue un rôle protecteur en évitant la formation des plaques d’athéromes et augmente l’activité enzymatique du foie.
La carence en magnésium, mais aussi à l’inverse son excès, va se traduire par : des troubles nerveux : nervosité, insomnie, spasmophilie, fourmillements dans les extrémités, excitabilité des muscles notamment au visage (paupière qui saute), gêne à la gorge et au plexus solaire (sensation d’oppression et d’angoisse), troubles de la conduction nerveuse entraînant problèmes cognitifs, fatigue, constipation, maux de tête et migraine, etc…
L’excès de magnésium en quantité à court terme et à long terme est tout aussi préjudiciable.
En excès, le magnésium est éliminé par les reins, ce qui entraîne une fatigue rénale sur le long terme, ainsi que des fuites des autres minéraux comme le potassium, le sodium, le calcium, le phosphore, etc…
Cette carence multiple qui en découle entraîne des symptômes encore plus importants et chroniques.
En résumé la carence ou l’excès de magnésium va entraîner les mêmes types de symptômes, d’où l’intérêt de trouver le bon équilibre.
L’apport de magnésium doit se faire en synergie avec tous les autres minéraux, oligo-éléments et vitamines pour permettre une bonne assimilation intestinale et cellulaire ainsi qu’une bonne utilisation. Les apports doivent donc être bien dosé en quantité, fréquence et durée pour éviter les carences mais aussi les excès.
Concernant les crampes musculaires, il n’y a pas que le magnésium qui compte et joue un rôle, ce n’est pas une panacée.
L’hyperacidité du terrain, l’hypoglycémie chronique et cellulaire, les carences nutritionnelles multiples, l’intoxication aux métaux lourds, l’accumulation de déchets de types cristaux, d’acide lactique, les problèmes de circulation sanguine et lymphatique, l’insuffisance rénale ou encore la dérégulation du système nerveux peuvent aussi entraîner des crampes. Les crampes, comme tout autre problème de santé, est souvent d’origine multifactorielle avec des causes multiples qui agissent en synergie.
C’est pour cela que le naturopathe fait un bilan de terrain complet pour déterminer l’ensemble des causes à l’origine des crampes afin de mieux les éliminer et de restaurer ainsi l’équilibre de fonctionnement du corps en général et des muscles en particulier.
Aurélien Naturopathe
Le potassium est un minéral important pour l'organisme. Il contribue notamment au fonctionnement normal des cellules, du système nerveux, à une fonction musculaire normale et au maintien d'une pression sanguine normale.
Le taux sanguin de potassium est appelé kaliémie.
Le sodium est un minéral présent dans tout l'organisme, notamment dans le plasma, c'est le cation le plus important dans le liquide extracellulaire, maintenant la pression osmotique et l'équilibre hydrique. Il participe en synergie avec d'autres ions à l'équilibre acido-basique qui donne au sang un PH stable.
Il régule la tension artérielle et contribue au bon fonctionnement des muscles pendant leur contraction et des nerfs pendant la transmission de l'influx nerveux.
L'absorption se fait principalement au niveau intestinal, l'excès de sodium est excrété par voie urinaire.
En général la moitié du sodium consommé fait partie des aliments comme le céleri, les légumes frais, le fromage frais, les fruits de mer, le œufs, les viandes et volailles, les eaux minérales et l'autre moitié concerne le sel de table ajouté à l'assaisonnement ou la cuisson.
Les aliments préparés industriellement ont une teneur en sel élevé, conserves, charcuterie, les fromages fermentés, les chips, gâteaux apéritifs..
Les carences de sodium apparaissent en cas de vomissements excessifs, diarrhées chroniques sévères, sudation importante ou alimentation inadéquate tel un régime sans sel très restrictif, ces carences entrainant de nombreux symptômes.
Aurélien Naturopathe
Présent dans le sang, le chlore entre dans les mécanismes d'hydratation du corps et a un rôle dans la digestion. Très souvent associé au sodium et au potassium, il permet de répartir l'eau dans notre organisme et de contrôler la pression osmotique : équilibre entre les liquides extracellulaires et intracellulaires. Le taux de chlore plasmatique est la chlorémie. Impliqué dans la régulation du pH, il est essentiel au bon maintien de l'équilibre acido-basique et stimule la fonction hépatique. Il contribue également à maintenir l'intégrité des articulations et des tendons.
Le chlore est absorbé au niveau intestinal, l'excrétion se fait par les voies urinaires et la sueur.
Les concentrations les plus importantes se situent dans le LCR liquide céphalo rachidien et dans les secrétions digestives avec l'acide chlorhydrique.
Apporté au corps par l'alimentation, on le trouve dans le sel de cuisine, comme dans tous les aliments naturellement riches en sodium tels que les charcuteries, fromages, olives, fruits de mer, les algues, la farine de seigle, les poissons fumés, les anchois et le pain. La carence en chlore est la conséquence de vomissements importants et répétés par perte massive d'acide chlorhydrique, de diarrhées, une transpiration excessive, de la déshydratation, par prise de diurétiques, une insuffisance rénale, etc.. ce qui entraine de nombreux symptômes.
Aurélien Naturopathe
Le phosphore est un minéral essentiel à la vie, le plus abondant dans le corps après le calcium, environ 80% se trouve dans les os et les dents, 10% dans les muscles et 10% dans le tissu nerveux et le sang.
Il intervient dans la mise en réserve ATP et le transport d'énergie, est essentiel à la calcification des os et des dents, est impliqué dans la croissance et la réparation des tissus, participe à la transmission de l'influx nerveux, renforce les fonctions mentales, stimule la contraction musculaire.
Les phosphates contribuent au maintien de l'équilibre acido-basique et du pouvoir tampon des liquides extracellulaires.
La phosphorylation est une étape nécessaire à l'activation de nombreuses enzymes.
Le phosphore est absorbé au niveau intestinal, l'excèdent est excrété dans les urines et les selles.
Le rein joue le rôle de régulation de la phosphorémie.
Le phosphore se trouve dans la plupart des aliments riches en protéines comme les œufs, les poissons, les viandes et volailles, les produits laitiers mais aussi dans les lentilles, les asperges, les graines, les légumineuse, les céréales complètes, les noix..
La carence en phosphore entraine de nombreux symptômes.
Aurélien Naturopathe
Le soufre, macroélément, est le troisième minéral le plus important dans l’organisme, après le calcium et le phosphore. Le corps adulte contient 0.3% de la masse corporelle de soufre sous forme de sulfates intégrés dans les acides aminés soufrés dont la méthionine et la cystéine qui jouent un rôle dans la construction des protéines (comme la kératine et le collagène) et des enzymes impliquées dans les nombreuses réactions chimiques et métaboliques qui se produisent dans l’organisme. Les acides aminés soufrés sont utilisés pour produire d’autres molécules importantes, comme la biotine, le coenzyme A, l’acide lipoïque et le glutathion. La taurine, elle, est impliquée dans la production d’acides biliaires.
Le soufre également connu sous le nom de « minéral de beauté » aide à maintenir l’élasticité de la peau, lutte contre les effets du vieillissement, participe à la respiration cellulaire, agit en tant que désensibilisant universel, participe à la détoxification hépatique, et est indispensable au maintien de l’équilibre acido-basique de l’organisme.
Le soufre est présent dans tous les aliments riches en protéines ; la viande rouge, la viande blanche, les légumes, le poisson, les fruits de mer et les produits laitiers. L’une des sources les plus riches de ce minéral est le jaune d’œuf. D’autres aliments comme les oignons, l’ail, le chou, le chou de Bruxelles et le navet, le germe de blé, les graines de soja, les légumineuses contiennent également une bonne quantité de soufre. Les eaux minérales comme Hépar et Contrex en contiennent.
Une carence en soufre entraine de nombreux symptômes.
Aurélien Naturopathe
Les acides aminés sont les constituants des protéines, on en compte 22 et chacun a un rôle spécifique dans l'organisme.
Parmi les 22 acides aminés importants, 13 peuvent être synthétisés par le foie dans l'organisme à partir des acides aminés essentiels.
Les 9 autres acides aminés sont appelés essentiels, car ils ne peuvent pas être synthétisés par le corps et doivent être apportés par l'alimentation journalière, il s'agit du tryptophane, de la lysine, de la méthionine, de la phénylalanine, de la thréonine, de la valine, de la leucine, de l'isoleucine et de l'histidine.
Une carence en acides aminés essentiels peut entraîner une diminution de l'immunité, des problèmes digestifs, la dépression, des problèmes de fertilité, une baisse de la vigilance mentale, un ralentissement de la croissance chez les enfants et de nombreux autres problèmes de santé.
Aurélien Naturopathe
Les acides aminés sont les constituants des protéines, on en compte 22 et chacun a un rôle spécifique dans l'organisme. Bien que leur rôle principal soit de constituer les protéines, les acides aminés sont également précurseurs de glucides, de certaines hormones, parfois de lipides.
Les acides aminés représentent environ 20 % du poids de notre corps, ils constituent le deuxième composant le plus important de notre corps après l’eau.
Parmi les 22 acides aminés importants, 13 peuvent être synthétisés par le foie dans l'organisme à partir des acides aminés essentiels, il s'agit de alanine, arginine, asparagine, acide aspartique, cystéine, glutamine, acide glutamique, glycine, histidine, proline, sérine, tyrosine, carnitine.
Une alimentation équilibrée est importante pour rester en bonne santé. Le corps humain a besoin chaque jour d’un apport équilibré des cinq principaux nutriments : protéines, graisses et glucides, ainsi que vitamines et minéraux.
Les acides aminés non essentiels se trouvent dans les viandes, poisson, œufs, produits laitiers, fruits de mer, crustacés, légumineuses et céréales complètes.
Aurélien Naturopathe
L'index glycémique (ou indice glycémique), dont l'abréviation est IG, donne une indication sur la capacité d'un aliment à augmenter la glycémie, c'est-à-dire la concentration de glucose dans le sang.
L'index glycémique d'un aliment se mesure par rapport à celui du glucose qui est de 100. Un index glycémique de 80 signifie que l'augmentation de la glycémie avec cet aliment correspond à 80 % de celle obtenue avec du glucose.
Pour connaître les effets d’un aliment glucidique sur l’organisme, vous devez connaître à la fois son index glycémique (IG) et la quantité que vous en avez avalée. Par exemple, la purée de pomme de terre et le pain blanc ont tous deux un IG élevé. Si vous mangez une seule tranche de pain, son impact sur le sucre sanguin sera beaucoup plus faible que si vous avalez une pleine assiette de purée.
Pour prendre en compte ce paramètre, le professeur Walter Willett de l’université de Harvard a proposé en 1997 le concept de charge glycémique (CG).
La charge glycémique s’obtient en multipliant l’IG d’un aliment par la quantité de glucides d’une portion de cet aliment, puis en divisant par 100.
CG = [IG x quantité de glucides d’une portion d’aliment (g)]/100
Exemples :
Une assiette de purée (150 g), aliment dont l’IG est de 90, contient 22,5 g de glucides. La charge glycémique est de (22,5 x 90)/100, soit 20,2.
Une assiette de carottes cuites (175 g), légume dont l’IG est de 47, contient 9,6 g de glucides. La charge glycémique est de (9,6 x 47)/100, soit 4,5.
Une charge glycémique inférieure ou égale à 10 est considérée comme basse. Comprise entre 10 et 19 elle est dite modérée. Supérieure ou égale à 20, la CG est élevée.
En conclusion, par cet exemple on constate que connaître l'IG d'un aliment ne suffit pas, la quantité ingérée compte grandement aussi car c'est l'ensemble de ces deux facteurs qui va déterminer la réaction du corps par production d'insuline de façon excessive ou non et donc une éventuelle hypoglycémie réactionnelle après repas. De même, le mode de cuisson, le mode conservation et le niveau de maturité de l'aliment de même que notre volémie sanguine au moment de l'assimilation du glucose en fin de digestion sont des facteurs importants à prendre en compte également.
On peut également réguler la diffusion du glucose dans le sang depuis l'intestin grêle en accompagnant son repas d'un maximum d'aliments riches en fibres (légumes chauds comme les épinards par exemple) qui vont ralentir l'absorption du glucose dans le temps et donc diminuer la charge glycémique pendant un temps T donné. Empêchant ainsi toute réaction excessive d'hyper insulinémie.
De même les fruits de l'image ont une charge glycémique faible quelque soit leur IG, ils sont donc tout indiqués pour apporter du glucose au corps sans provoquer de réaction excessive lors de leur absorption dans le sang.
Aurélien Naturopathe.
L’excès de poids est un problème qui touche de plus en plus de personnes de nos jours, quel que soit l’âge ou le sexe. Les méthodes et régimes diverses sont souvent peu efficaces voir pas du tout et les quelques kilos perdus au prix de gros efforts sont souvent repris très rapidement, voir plus qu’au départ. Entrainant au passage son lot de problèmes de santé et de moral en berne.
La connaissance du fonctionnement du corps humain permet de comprendre pourquoi nous prenons du poids et surtout pourquoi il est si difficile d’en perdre, mais pas impossible une fois que l’on connaît les causes du dysfonctionnement de notre terrain.
Pourquoi prenons-nous du poids ? Les causes à l’œuvre sont multiples et agissent en synergie.
Au niveau externe, l’alimentation vient en premier, quel que soit le volume de notre assiette, c’est surtout le nombre de calories apportées par les repas qui est souvent trop important par rapport au nombre de calories utilisées par notre activité journalière. Souvent avec la nourriture moderne industrielle, raffinée et trop riche, ce ratio est en déséquilibre, en faveur d’un apport calorique trop important.
Vient ensuite la quantité des repas en fonction du moment de la journée, on mange souvent trop le soir, donc trop d’apport calorique alors que la dépense énergétique ralentie avec le sommeil, donc l’excès va être stocké dans les cellules du tissu adipeux.
Paradoxalement, le petit déjeuner, le repas le plus important de la journée, puisqu’il doit nous donner l’énergie nécessaire pour commencer notre journée et tenir jusqu’au repas du midi, est littéralement supprimé ou insuffisant, ce qui va engendrer une fringale en fin de matinée, souvent compensée par des aliments types sucres rapides.
La structure des repas est un élément très important également dans la gestion du poids. Le mauvais choix des aliments et de leur proportion entre eux, sont une source de mauvaise digestion et d’assimilation. Cela va entraîner des carences nutritionnelles à l’origine d’un ralentissement du métabolisme ; une hypoglycémie réactionnelle après repas, à l’origine d’une prise de poids car une trop grande quantité de glucose assimilé au même moment en fin de digestion sera transformé en graisse pour être stockée ensuite dans le tissu adipeux.
La sédentarité et le manque d’exercice physique vont accentuer le différentiel entre les apports caloriques et les dépenses énergétiques de l’organisme, ce qui va progressivement amplifier la prise de poids avec le temps par stockage sous forme de graisses des calories non utilisées.
Au niveau interne, de nombreuses causes fonctionnelles et métaboliques vont contribuer aussi à la prise de poids.
L’hypoglycémie chronique ou réactionnelle et son cortège de dysfonctionnements métaboliques et organiques vont conduire à la transformation et au stockage sous forme de graisses du glucose non assimilé au niveau cellulaire et donc restant en excès dans le système sanguin.
L’incapacité du foie et des muscles à transformer le glucose en glycogène, qui est sa forme de stockage normale, le ralentissement du métabolisme dû au mauvais fonctionnement de la thyroïde (hypothyroïdie), les dysfonctionnements glandulaires (surrénales, pancréas, hypophyse, hypothalamus, gonades…), les déséquilibres en neurotransmetteurs et le dysfonctionnement du système nerveux autonome, etc…, vont contribuer également à la prise de poids par le ralentissement du métabolisme cellulaire que cela entraîne.
Au niveau métabolique, les carences en micro-nutriments, en acides aminés, le déficit enzymatique dû à l’intoxication aux métaux lourds, le manque d’eau (déshydratation), le déséquilibre de la flore intestinale (dysbiose, flore saprophyte dégradée, flore pathogène trop active), le stress et les émotions négatives (message psycho-émotionnel qui influe sur notre comportement alimentaire) contribuent également à la prise de poids.
Enfin l’accumulation de toxines, de déchets métaboliques et de toxiques lipophiles vont entraîner la multiplication des cellules graisseuses pour stocker ces éléments nocifs que le corps est incapable d’évacuer.
La liste n’est certainement pas exhaustive mais l’accumulation de toutes ces causes en synergie va provoquer un effet domino et bloquer notre capacité à perdre du poids.
Bien sûr, certaines constitutions et certains tempéraments au niveau de leur terrain auront une plus grande propension à prendre du poids et plus de difficulté à en perdre, alors que pour d’autres se sera exactement l’inverse : perte de poids et difficulté à grossir. Avec les mêmes causes métaboliques et organiques à la manœuvre.
La naturopathie possède les techniques et les outils pour rétablir le fonctionnement harmonieux du corps et de son métabolisme afin soit de perdre du poids de façon pérenne soit de prendre du poids. Mais cela nécessite une approche personnalisée et de prendre le temps nécessaire pour cela au travers d’un suivi naturopathique cohérent. Dont le bilan de terrain est la première étape indispensable.
Aurélien Naturopathe.
Pour renforcer son terrain et son système immunitaire, un moyen efficace et naturel consiste à consommer des fruits et des légumes en grande quantité, crus ou cuits à la vapeur douce pour préserver au maximum les vitamines et les oligo-éléments et minéraux dont notre système immunitaire a besoin pour toutes ses fonctions métaboliques.
En effet, les micro-nutriments (vitamines et oligo-éléments) servent pour la fabrication des anticorps qui luttent contre tous types de virus. Les anticorps sont très importants car ils se fixent sur le virus en nombre pour le piéger et l’empêcher de coloniser des cellules saines afin de se reproduire. Ensuite les macrophages peuvent avaler et dissoudre l’ensemble avec leurs enzymes. Et pour fabriquer ces enzymes, il faut aussi des vitamines et des oligo-éléments.
Un exemple de fruit de saison:
La fraise contient de la vitamine C en abondance, des flavonoïdes, des vitamines du groupe B, de la vitamine E et A, du fer, du calcium, magnésium et potassium, du cuivre, du zinc, du sélénium et de l’iode qui vont renforcer notre immunité. Ainsi que du phosphore et du manganèse.
Les pâtes et le riz n’apportant que des calories vides sous forme de glucides complexes (amidons) et ne contenant pas les nutriments nécessaires à nos fonctions métaboliques, il est nécessaire de consommer plutôt des fruits et légumes en quantité et si possible bio.
Aurélien Naturopathe
Le citron est un agrume bien connu en général, on s'en sert essentiellement pour accompagner certains plats comme les poissons et les fruits de mer entre autres.
Ce que l'on sait moins, c'est qu'il nous apporte un nombre important d'éléments très bénéfiques à la santé. Il contient à lui seul des vitamines (A,B1,B2,B3,B5,C,PP), des sels minéraux et des oligo-éléments (fer, calcium, phosphore, potassium, manganèse, cuivre, silice, sodium), des flavonoïdes, de l'acide malique, des mucilages qui aident le transit intestinal, et de l'acide citrique, composant essentiel du cycle de krebs dans les mitochondries pour produire l'énergie cellulaire sous forme d'ATP.
Les propriétés du citron sont remarquables et nombreuses : tonique du système cardiaque et vasculaire, du système nerveux et cérébral. C'est un excellent fluidifiant sanguin sans faire baisser le taux de prothrombine. De plus, c'est un anti-goutteux, un antirhumatismal et un reminéralisant.
Le citron est le seul agrume qui bien qu'étant acide au goût est alcalinisant.
L'acide citrique se transforme pendant la digestion en carbonates et bicarbonates de potassium ou de calcium qui sont des éléments alcalins.
Fébrifuge, il fait baisser la fièvre. Le citron agit également sur les calculs rénaux et biliaires par son action litholitique. Il a des propriétés antiseptique, anti-bactérienne, antioxydante et anti-artériosclérose par son action sur les plaques d'athérome qu'il contribue à dissoudre. Il a une action anti-migraineuse et antiparasitaire et abaisse la tension artérielle.
Mais il convient de le prendre en agriculture biologique sinon il sera carencé en nutriments.
Idéal pour les tempéraments sanguins, il est par contre déconseillé sur des terrains hyperacidifié et neuro-arthritique qui ont du mal à métaboliser les acides au niveau digestif et cellulaire.
Attention aussi si prise d'anti-coagulants ou d'aspirine ou de fluidifiants sanguins médicamenteux pour ne pas cumuler les effets fluidifiants. De même pour les personnes souffrant d'hypotension ou prenant des médicaments pour l'hypertension.
En cas de contre-indication pour terrain hyperacide, on préfèrera le bourgeon de citronnier en macérat mère pour éviter l'acidité du citron mais garder ses autres propriétés bienfaisantes.
Toujours vérifier votre terrain (inflammation digestive) et votre équilibre acido-basique avec des bandelettes de pH urinaire à partir de la deuxième miction du matin avant de faire une cure de citron. Mais bien toléré, le citron aide à la digestion et est bénéfique pour le foie.
Aurélien Naturopathe
Le glycogène est un glucide complexe présent dans le foie et les muscles, constitué de plusieurs molécules de glucose formé à partir des glucides de l'alimentation. C'est une grosse molécule qui stocke de l'énergie en réserve avec la capacité de pouvoir libérer rapidement des molécules de glucose dans le sang et de fournir de l’énergie aux muscles lors d’un effort physique.
La production de glycogène dans l'organisme est stimulée par l'insuline tandis que la dégradation du glycogène en glucose est stimulée par le glucagon et l'adrénaline.
La glycogénèse est le mécanisme de stockage du glucose en glycogène qui est réalisé grâce à une enzyme : la glycogène synthase.
Le foie réalise la glycogénolyse (hydrolyse du glycogène) pour reformer du glucose à partir de ses réserves de glycogène grâce à la glycogène phosphorylase.
Les déficits en enzymes intervenant dans le métabolisme du glycogène donnent lieu à des maladies neuromusculaires rares appelées glycogénoses.
Les réserves de glycogène sont très importantes pour la régulation de la glycémie du corps, la carence en glycogène peut être à l'origine d'une hypoglycémie chronique, surtout si les apports alimentaires en glucose sont insuffisants ou bien si la dépense énergétique est excessive.
Aurélien Naturopathe
De nombreuses études scientifiques de par le monde, et notamment en Inde, pays du curcuma, ont été menées sur l'action du curcuma sur l'organisme et la santé. Et plus précisément sur son principe actif la curcumine. Ces différentes études ont mis l'accent in vitro et in vivo sur les principaux effets du curcuma: anti-inflammatoire, antioxydant, hypoglycémiant, hypocholestérolémiant, fluidifiant sanguin, anti-bactérien, anti-fongique, digestif, régulation du cycle utérin, action sur la prostate, etc... L'ayurvéda l'utilise depuis près de 4000 ans en Inde où le curcuma est toujours consommé à titre culinaire, préventif et curatif par des millions de personnes.
Le miel va servir de support pour la prise de curcuma en poudre afin de faciliter son ingestion, de plus selon le type de miel, on aura également des actions spécifiques et complémentaires au curcuma, exemple avec le miel de thym pour une action antibiotique renforcée.
L'important sera aussi d'avoir un taux de curcumine suffisant, donc la qualité du curcuma sera primordial.
Pour ce qui est des dosages, fréquences de prises et utilisation dans un but préventif ou curatif, cela dépendra du terrain et des problèmes de santé pour chacun, à voir donc de façon personnalisé avec un professionnel qui étudiera votre terrain afin de savoir en premier si vous supporterez le curcuma et quel est la bonne méthode pour le prendre le cas échéant.
L'automédication, même avec des éléments naturels, est déconseillée sans connaissance préalable du terrain, pour évitez des erreurs préjudiciables. Toujours consulter un professionnel au préalable car chaque personne est unique au niveau de son terrain physiologique, donc les recettes miracles utilisables par tous sans précaution, cela n'existe pas. La santé et la naturopathie exige un travail personnalisé.
Aurélien Naturopathe
Au petit déjeuner, pour démarrer votre journée avec vitalité et vitamines. Il sera évident que ce conseil s'inscrit dans le cadre d'un petit déjeuner complet qui respecte les bonnes proportions pour l'équilibre acido-basique, un apport en fibres suffisant pour éviter les crises d'hypoglycémie réactionnelle, etc... A éviter par précaution en cas d'hémochromatose. ( Excès de fer dans le sang).
Aurélien Naturopathe
Le lait d'or est une boisson épicée issue de la tradition ayurvédique. Cette boisson est faite à base de lait végétal et d'épices, principalement du curcuma qui lui donne sa couleur dorée.
Les bienfaits du Lait d'Or sont nombreux car cette boisson a de multiples vertus : anti inflammatoire, anti oxydant, améliore le confort digestif, analgésique, antiseptique, stimulation du système immunitaire, purification de la peau, régulation du métabolisme, aide au fonctionnement du foie, etc...
Voici une recette pour le préparer
Aurélien Naturopathe
La vitamine B1 ou thiamine intervient dans la conversion des glucides en énergie, et est nécessaire au fonctionnement normal des muscles, y compris le muscle cardiaque. Elle contribue à un métabolisme énergétique normal et à la bonne fonction du système nerveux. Elle aide à la régulation de l'appétit et stimule l'énergie. On la trouve dans les graines de tournesol, les haricots, les pois verts, les lentilles et l'avoine.
La vitamine B2 ou riboflavine aide à la libération d'énergie à partir des aliments. Elle contribue également au métabolisme normal du fer dans l'organisme. C'est pourquoi elle aide à réduire la fatigue, et aide au maintien du bon fonctionnement du système nerveux. Elle favorise une vision et une peau saine, aide à la production des globules rouges. On la trouve dans l'épinard, les feuilles de betterave, les amandes, les champignons, les asperges.
La vitamine B3/PP ou niacine contribue à la fonction normale du système nerveux. Elle favorise l'acuité mentale, aide à la digestion, favorise la peau saine et un tissu musculaire sain. On la trouve dans les graines de chia, le riz brun, les amandes, les pommes de terre, les tomates, les champignons.
La vitamine B5, ou acide pantothénique, est importante dans la production d’énergie. Elle assure le transport de l’oxygène dans les cellules pour la performance mentale et régule le système nerveux.
Elle contribue à la synthèse des hormones stéroïdes intervenant dans la synthèse du cholestérol, de la vitamine D et de certains neurotransmetteurs, et contribue à la réduction de la fatigue. Elle aide au métabolisme des aliments, favorise une peau saine. On la trouve dans les champignons, le shiitake, l'avocat, les graines de tournesol, la patate douce, les brocolis.
La vitamine B6 ou pyridoxine est impliquée dans le métabolisme de plusieurs acides aminés. Elle contribue à la formation normale de globules rouges. De plus, elle participe au bon fonctionnement psychologique et à celui du métabolisme énergétique.
Enfin, elle aide à réduire la fatigue. Elle aide à la création de la sérotonine. On la trouve dans les patates douces, les bananes, les épinards, les noix, les pruneaux, les pistaches, les pommes de terre.
La vitamine B8 ou biotine contribue principalement au métabolisme des acides gras et active les autres vitamines B. Elle aide à équilibrer la glycémie et la santé de la peau. On la trouve dans les bettes à carde, les tomates, les carottes, les amandes, le chou fleur, le chou, l'oignon, l'avoine, la framboise.
La vitamine B9, ou acide folique, contribue à la formation normale des globules rouges et leur oxygénation. Elle agit contre la fatigue. Elle normalise la gestation pendant la grossesse et active la réponse sexuelle. On la trouve dans les épinards, les légumes feuille, les brocolis, la mangue, l'avocat, les asperges, l'orange.
La vitamine B12 joue un rôle important en contribuant au métabolisme énergétique normal ainsi qu’à la formation normale de globules rouges. Elle favorise le maintien des neurones, ainsi elle contribue à des fonctions neurologiques et psychologiques normales. Elle agit également sur la réduction de la fatigue. Elle favorise la stabilité émotionnelle et la perte de poids. On la trouve dans les champignons, la spiruline, la levure.
Aurélien Naturopathe